L’assainissement de l’eau en Afrique : une mission fondamentale – Partie 1/2
A ce jour, seulement 57% des habitants du continent africain ont accès à l’eau potable. Lire la suite
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Lors de l’annonce du confinement en Mars dernier, nombreux sont ceux qui ont cru aux pénuries alimentaires. Et si les français se sont littéralement précipités sur des produits de première nécessité tels que les pâtes, conserves et autres achats versatiles que l’on pourrait (le cas échéant) garder longtemps dans ses placards ; d’autres ont rempli leurs chariots d’eau en bouteille. Un choix qui peut étonner lorsque l’on songe qu’en France, l’eau du robinet peut tout à fait être privilégiée. Et qu’il ne semblait donc pas particulièrement nécessaire de la stocker. Or, ce comportement met en lumière une crainte encore trop répandue ; celle de la toxicité de l’eau.
Et s’il s’agit malheureusement d’une triste réalité ailleurs dans le monde, ce n’est pourtant pas le cas de l’Hexagone. Pour autant, cette chimère reste tenace … Et semble même se renforcer avec la venue de la pandémie. Voilà pourquoi il important de faire le point sur ce que nous savons actuellement de l’eau au temps du Covid-19 …
Le caractère potable ou non potable d’une eau est encore aujourd’hui une préoccupation majeure. Tout simplement parce que sans eau, la vie n’est pas possible. Du reste, tous s’accordent sur le fait que l’on peut se passer de nourriture pendant quelques jours. Mais pas d’eau. L’être humain étant composé de près de 60% d’eau, celle ci est assurément indispensable à sa survie. Et nombreux sont ceux qui craignent que cette ressource dont l’on ne saurait se passer puisse agir comme vecteur de transmission du virus. Ce qui explique l’engouement actuel autour de l’eau en bouteille, alors même que celle-ci se voyait jusqu’alors quelque peu délaissée au profit de l’eau du robinet.
Pour autant, cette angoisse s’avère parfaitement infondée si l’on en croit l’OMS. Laquelle assure en outre que les méthodes d’ors et déjà utilisées pour rendre l’eau potable (à savoir filtration et désinfection) suffisent à assurer la sécurité des consommateurs. Par conséquent, il n’est absolument pas nécessaire de se ruer sur les packs d’eau, malgré les croyances persistantes à ce sujet.
Du reste, le virus et son rapport à l’eau semblent alimenter les rumeurs les plus folles. Ainsi, on aura également entendu ces dernières semaines que de petites gorgées d’eau prises régulièrement suffiraient à éviter la contagion, de même que la consommation d’eau chaude via le thé ou les tisanes. Cependant, ces assertions ne reposent sur aucun fondement scientifique ou médical.
Dès lors, si l’eau chaude ou les petites gorgées de liquide ne sont malheureusement d’aucune utilité pour contrer le coronavirus ; il en est de même pour l’eau en bouteille ! Alors n’hésitez pas à alléger vos sacs de course et à continuer à consommer de l’eau courante si vous en aviez l’habitude avant la pandémie ! Celle-ci ne vous fera courir aucun risque supplémentaire.
Cet article est une contribution libre rédigée par un auteur partenaire et non par la société elle-même.
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